Un important industriel veut engager un secrétaire mais, auparavant, il lui fait passer un petit test. - Supposez, lui dit-il, que je vous aie convoqué, un soir, à la maison, pour vous dicter du courrier.
Ma femme vous accueille, en déshabillé, et vous informe que j'ai téléphoné de Bruxelles où mon avion a été détourné en raison du brouillard.
Je rentre en taxi et je ne serai là que dans quatre heures.
Comment allez-vous occuper ce temps ?
- Heu...
fait le candidat secrétaire, pourriez-vous, d'abord, me montrer une photo récente de votre épouse ? |
- Pourquoi, demande une dame à son mari, mets-tu ces chaussures bien trop grandes pour toi ?
C'est au moins du 45 alors que tu fais un petit 42. - C'est vrai mais tu apprécierais, toi aussi, de ne pas avoir les doigts de pied qui arrivent tout au bout dés chaussures si tu devais, comme moi, voyager pendant une heure dans le métro - un jour où les trois quarts des conducteurs de rames sont en grève. |
Un chef d'entreprise convoque un spécialiste des labyrinthes :
- J'aimerais, lui dit-il, que vous aménagiez mes bureaux comme vous le faites pour les jardins, de telle sorte que lorsqu'un de mes collaborateurs veut me soumettre un problème épineux, celui-ci soit résolu avant qu'on n'ait réussi à me dénicher. |
Ouvrant un oeil péniblement, un homme, qui a la tête près d'éclater, dit à sa femme :
- Qu'est-ce qui s'est passé, hier...
à la fête du bureau ?
- Tu t'es disputé avec ton patron et il s'est fâché. - Mon patron, je l'emmerde - C'est exactement ce que tu lui as dit.
Et il t'a flanqué à la porte sans indemnités. - Ça alors, je me suis bien fait baiser !
- Non, corrige sa femme, c'est moi.
C'est même pour cela que tu reprends normalement ton boulot demain. |
Un vieux et gros monsieur rentre en retard chez lui. - Que t'est-il arrivé ?
questionne sa femme.
Je commençais à m'inquiéter. - Tu avais bien tort.
Vois-tu, mes collègues se sont cotisés, à l'occasion de mon départ à la retraite et ils m'ont offert un cadeau.
Mais ce qui m'a retardé, c'est que j'ai mis un temps fou à pouvoir y entrer. - Qu'est-ce que c'était ?
demande sa femme.
Une petite voiture ?
- Non.
Une grande call-girl. |
- Non, mademoiselle, dit le chef du personnel à la superbe nana qui vient solliciter un emploi, je n'ai aucune place de secrétaire vacante en ce moment. La futée, assise en face de lui, feint de laisser tomber son sac.
Elle se baisse pour le ramasser, de telle sorte que son manteau s'entrouvre, en montrant qu'elle porte juste en dessous une légère combinaison de soie noire. - Mais, poursuit son interlocuteur, émoustillé par ce charmant spectacle, revenez donc me voir demain matin.
Ce serait bien rare que, d'ici là, une de mes employées n'ait pas commis une erreur impardonnable qui m'obligera à la congédier sur-le-champ. |
- Mademoiselle, dit le patron d'une grosse entreprise, je vais vous demander d'organiser notre congrès annuel.
A la différence de celui de l'an passé, qui avait réuni, à Bagnoles-de-I'Orne, trois cents de nos collaborateurs, le prochain congrès se tiendra aux Baléares et il n'y aura que deux participants :
vous et moi.
En retenant notre chambre, à l'hôtel Bella Vista, précisez bien que nous préférons un grand lit plutôt que des lits jumeaux. |
Le directeur d'une multinationale, dont le siège est à New York, dit à sa secrétaire :
- Je vais boire un café. - Bien.
Si on vous appelle, je conseille de vous rappeler dans un quart d'heure. - Dites plutôt dans trois jours .
Voyez-vous, quand je bois un café j'aime que ce soit du vrai.
Alors, j'ai fait affréter le Boeing de la compagnie pour aller le boire en Colombie. |
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