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- Comment, demande une dame à une amie, ton mari a-t-il réussi à obtenir cette superbe promotion ?
- Oh !
ça s'est fait tout à fait par hasard.
Figure-toi qu'un soir, sans m'avoir prévenue, mon mari se ramène avec son patron qu'il avait invité à dîner. Quand ils sont entrés dans l'appartement, je sortais de la douche et j'étais toute nue, les yeux pleins de shampooing, à traverser la salle de séjour pour chercher une serviette. - Et alors ?
- Eh bien, le patron de mon mari a eu le gentillesse de me passer cette serviette et il a même tenu à me sécher complètement, tandis que mon mari se rappelait, opportunément, qu'il devait redescendre au bureau de tabac pour s'acheter des cigarettes. |
En vovant, par la porte vitrée de son bureau, un employé qui s'apprête à frapper timidement pour solliciter la permission d'entrer, le P.-D.G.
d'une petite entreprise dit à secrétaire. - J'espère que Martin vient me demander une augmentation.
Après la scène que m'a faite ma femme, ce matin, j'ai absolument besoin de saquer quelqu'un pour me calmer les nerfs. |
Une parfaite secrétaire prévient son correspondant :
- Monsieur le directeur vous demande quelques instants de patience car la décision qu'il doit prendre, concernant votre proposition, mérite réflexion.
Ah !
ça y est !
Il a enfin trouvé une pièce dans sa poche pour tirer à pile ou face ! |
- Oui, dit un chef d'entreprise, auquel un représentant fait l'article, pour un nouveau modèle d'ordinateur, je veux bien admettre qu'il permet des communications ultra-rapides.
Mais vous reviendrez me voir quand une de vos machines miracle dira autant de choses en aussi peu de temps qu'un homme qui fait un clin d'oeil à une jolie femme. |
- Monsieur le directeur, dit en rougissant un jeune homme très timide, pourrais-je avoir ma matinée, vendredi prochain ?
- Et pourquoi donc ?
hurle le patron. - Eh bien...
heu...
voilà...je me marie...
ce jour-là...
et ça aurait fait plaisir à ma fiancée que j'assiste à la cérémonie. |
Le directeur d'une importante entreprise, très fier de lui, raconte sa vie et sa carrière à un curé, assis à côté de lui, dans un banquet. - Je peux dire une chose, Monsieur le curé, c'est que je me suis fait entièrement moi-même... - C'est fort bien, mon fils.
Voilà qui décharge le Tout-Puissant d'une lourde responsabilité. |
Après avoir raconté une histoire bien graveleuse, un employé dit à une de ses collègues, toute rougissante :
- Avouez que je n'ai jamais perdu mon sens de l'humour. - Je me demande, réplique la femme, comment vous pourriez perdre quelque chose que vous n'avez jamais eu. |
L'institutrice demande :
- Qu'est-ce que la poussière ?
Un petit garçon lève la main :
- C'est de la boue dont on a enlevé le jus. |
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