Un épicier a engagé comme commis un grand jeune homme à lunettes. - Bon, lui dit-il, le premier jour, vous allez commencer par me balayer soigneusement la boutique. - Mais, proteste le jeune homme, n'oubliez pas que je sors de la Fac et que j'ai une maîtrise de philosophie. - Excusez-moi, fait l'épicier, je n'y pensais plus.
Alors, venez ici que je vous montre comment on tient un balai. |
- Tu sais, papa, dit un étudiant, ça me tracasse, le soir, pendant que je regarde la télé, de te voir, dans ton bureau, en train de faire des heures supplémentaires pour payer mes études...
Alors, s'il te plaît, tu pourrais fermer ta porte ? |
Joël revient avec son bulletin.
Il a encore zéro - Quelle raison vas-tu me donner ?(Soupir sa mère) - Eh bien, j'hésite entre l'hérédité et l'environnement familial. |
Une mère se présente à l'école à l'heure de la récréation et demande à un garnement s'il peut lui désigner le directeur. - Bien sûr, fait le gamin, en tirant son lance-pierres de sa poche.
Suivez bien la trajectoire de ce caillou.
Le petit homme en gris à qui il va faire une grosse bosse, c'est le directeur. |
A l'homme, qui se propose pour être chauffeur d'un car scolaire, le recruteur explique :
- Vous bénéficiez d'une prime d'engagement de 2 000 F. - C'est un peu comme à la Légion, dit, en riant, le candidat. - Ouais.
Et, à ce propos, quand vous l'aurez conduit pendant huit jours, votre car, c'est là que vous regretterez de ne pas vous y être engagé, à la Légion. |
- C'est incroyable, s'écrie un professeur d'école, la démission des parents, à notre époque !
Un gamin qui n'était pas venu depuis quelques jours m'a apporté un mot signé de sa grand-mère.
Elle m'y priait d'excuser pour son absence le père du gamin, qui a abandonné sa femme et leurs six enfants depuis trois ans. |
- Papa est dans la baignoire, dit une dame à son petit garçon.
Tu vas devoir prendre ton bain dans l'évier de la cuisine.
Ça ne te gêne pas, au moins ?
- Non, fait le gamin, mais cette fois, pense à enlever, d'abord, toutes les fourchettes. |
Un petit garçon est très fier de sa première année d'école. - A présent, dit-il, je suis plus fort que la maîtresse. - Comment cela ?
- Eh bien, l'année prochaine, je vais monter d'une classe, alors qu'elle reste dans celle où j'étais cette année. |
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