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C'est l'histoire de deux gars vraiment affreux, sales, bêtes et méchants. De vraies pestes qui ne pensent qu'à faire des ennuis aux autres habitants du village ! Mais par contre, ils vont à la messe tous les dimanches et ne sont pas radins quand vient l'heure de la quête car ils espèrent ainsi se racheter de tous leurs pêchés contre leurs concitoyens.
Un beau jour, un des deux frères vient à mourir. La veille des funérailles, le frère resté vivant vient voir le curé et lui dit :
- Je vais vous faire un chèque d'un beau montant qui vous permettra de finir la réfection du clocher... Mais il y a une condition; Pendant l'office, il vous faudra dire explicitement que mon frère "était un saint". Si vous êtes d'accord, signez en bas de ce contrat et vous aurez le chèque...
Le curé lui dit :
- C'est d'accord...
Il signe le contrat et part encaisser le chèque le jour même. Le lendemain, au cours de la cérémonie, le curé fait l'éloge funèbre et commence par ces mots :
- Cet homme était habité par le diable. Il trompait sa femme, on l'a soupçonné d'avoir allumé plusieurs incendies dans le village, il était violent... Et le laïus continue quelques minutes, jusqu'à ce que le curé conclue :
-... Mais comparé à son frère, cet homme était un saint... |
- Quand je vais mourir, dit l'homme à sa femme, je veux que tu me fasses incinérer.
- Albert, c'est bien toi, toujours le genre à laisser de la cendre partout. |
- Mon père, je suis un chrétien exemplaire. Je ne bois pas, je ne vais jamais au café. Je ne trompe pas ma femme, je ne regarde même pas les autres femmes. Je ne sors jamais le soir, je me couche tôt tous les jours.
- C'est bien, mon fils, mais ça risque de changer quand vous serez libéré…dit l'aumônier de la prison |
Un couple a réussi à persuader des amis parisiens de venir déjeuner chez eux, en banlieue.
- A la porte d'Orléans, leur dit la femme, vous prenez l'autoroute du Sud et vous roulez trente kilomètres pour bien pénétrer au coeur de l'Essonne. Une fois à Corbeil nord, vous repérez la direction de la cité des Tartignolles.
A partir de là, ça devient très simple.
Une fois passé le terrain vague où les dealers de coke règlent leurs comptes à coups de fusil à canon scié, vous longez une avenue où toutes les voitures en stationnement ont été dépouillées de leurs pneus et de leurs antennes radio.
Au sixième joueur de tam-tam, juste à côté d'un abribus en miettes et d'une cabine téléphonique ravagée par le feu, vous tournez à droite. Dès que vous serez arrivés devant chez nous, klaxonnez.
Mon mari descendra aussitôt vous ouvrir - après avoir mis son gilet pare-balles. |
A une heure avancée de la nuit, le téléphone sonne. Le monsieur décroche le combiné :
- Comment voulez-vous que je le sache ? Dit-il au bout de quelques secondes. Appelez plutôt la SNCF !
- Qui était-ce ? Lui demande sa femme.
- Aucune idée. Un type qui demande si la voie est libre... |
- Docteur, je suis très inquiet. Votre diagnostic n'est pas le même que celui de votre confrère.
- Je sais. C'est toujours comme ça, mais l'autopsie prouvera que j'avais raison. |
J'aime tellement ma belle mère que pour son anniversaire je lui ai donné un terrain...
il n'est pas long et pas large, mais il a au moins 3m de fond |
Le petit Sylvain vient de se faire prendre par son papa en train de boire de l'alcool en cachette.
Le papa a décidé de lui faire une leçon de morale.
Le papa entraîne Sylvain dans le jardin.
Il emmène un verre de whisky et un verre d'eau.
Il prend un ver de terre et le laisse tomber dans l'alcool.
Puis il prend un autre ver et le laisse tomber dans l'eau. Le lombric dans l'eau reste vivant alors que celui du whisky se tord sur lui-même quelques instants et meurt.
A la fin de l'expérience, le papa demande :
- Alors Sylvain, quelle leçon tires-tu de ce que je viens de te montrer?
Et Sylvain lui répond fort justement :
- Heu, ça montre que quand on boit de l'alcool, on ne risque pas d'avoir des vers... |
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