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Un homme d'affaires décide de louer les services de nuit d'une call-girl mais, alors qu'il s'apprête à prendre congé de l'hôtesse de charme, réalise qu'il n'a pas assez d'espèces sur lui. Il propose donc à la prostituée d'adresser à sa secrétaire une facture qui devra mentionner l'intitulé : Location d'appartement. La facture arrive trois jours plus tard et sa secrétaire le lui signale bien évidemment. L'homme décide finalement de ne pas payer et dicte à son assistante une lettre de justification.
- Madame, suite à ma visite de votre appartement il y a trois jours, j'ai pris la décision de ne pas régler la facture que vous me présentez. Ma décision est motivée par les fausses impressions que m'avait laissé votre annonce :
1. L'impression que l'appartement n'avait jamais été occupé.
2. L'impression qu'il était beaucoup plus chaleureux.
3. L'impression qu'il était de taille suffisamment petite pour que je puisse m'y sentir bien et comme chez moi.
En fait, j'ai pu constater qu'il avait été occupé par de nombreux locataires, qu'il ne dispensait aucune chaleur particulière et qu'il était beaucoup trop grand.
La réponse arriva deux jours plus tard :
- Cher Monsieur, je ne parviens pas à comprendre comment vous pouvez espérer qu'un appartement si mignon n'ait jamais été occupé. Au sujet de la chaleur, il y en a beaucoup mais il faut savoir trouver l'interrupteur. Quand à l'espace, l'appartement est en réalité de taille tout à fait standard, mais si vous n'avez pas assez de meubles pour le remplir, ne venez pas blâmer la propriétaire. Cordialement… |
Après avoir été appréhendés, deux petits trafiquants de drogue sont amenés devant le juge. Celui-ci écoute la plaidoirie de leur avocat commis d'office et rend finalement une décision particulièrement clémente :
- Je vais vous mettre à l'épreuve dès la semaine prochaine, explique t-il. Vous allez être libérés et vous allez consacrer tout votre temps à essayer de convaincre vos anciens clients de décrocher. Puis dans huit jours vous reviendrez au tribunal pour me faire part des résultats de cette mission. S'ils sont concluants, ma décision finale ira en votre faveur…
Huit jours passent et les deux ex-trafiquants se représentent devant le juge. Celui-ci demande au premier prévenu :
- Alors combien de vos anciens clients avez-vous convaincu d'arrêter la drogue ?
- J'en ai persuadés quinze, Monsieur le Juge, répond le prévenu.
- C'est bien, comment avez-vous donc procédé ?, interroge le juge.
L'homme répond :
- Ben voilà, J'ai pris du papier et un crayon et j'ai dessiné deux cercles sur une feuille, un grand et un petit. Et j'expliquais à mes anciens clients que le premier cercle, c'etait la taille de leur cerveau avant de consommer de la drogue et le second, la taille de leur cerveau après…
- Très pertinent, réplique le juge et, s'adressant au second prévenu, il demande: Et vous, combien d'anciens clients avez-vous fait décrocher ?
L'homme annonce triomphalement :
- Quatre-vingt dix-sept !
- Quoi ?", répond le juge incrédule. Et comment avez-vous fait ?
L'homme s'explique :
- J'ai employé une méthode presque similaire, Monsieur le juge. J'ai pris du papier et un crayon et j'ai dessiné un petit cercle d'abord et un grand ensuite. J'ai alors expliqué à mes anciens clients: tu vois, ça c'est ton anus avant de rentrer en prison, et ça, après … |
En sortant de l'école, un gamin de 8 ans rentre chez lui avec son ballon de foot sous le bras. Sur le chemin, il passe devant une petite fille du même âge et ne peut s'empêcher de la narguer :
- Ah vous les filles, vous n'aurez jamais de ballons de foot. Car c'est juste pour les garçons…
La petite fille rentre en pleurant à la maison et se plaint à sa mère. La maman, du genre MLF, s'en va immédiatement acheter un ballon à la petite fille qui, ravie, attend le lendemain avec impatience. Le petit garçon repasse bien devant elle le lendemain mais sur un vélo tout neuf. Il lance à la gamine :
- T'as peut-être eu un ballon mais jamais tu n'auras de vélo comme le mien. C'est un vélo de garçon ça…
La petite fille retourne précipitemment chez elle pour se plaindre à sa mère. Celle-ci, comme la veille, n'hésite pas à prendre sa voiture pour aller acheter un vélo neuf à sa fille chérie. Le lendemain, en repassant devant la petite fille, le gamin s'énerve en constatant qu'elle a réussie à obtenir un vélo neuf. Et, énervé, il baisse son pantalon en disant :
- Ca au moins, aucune fille pour en avoir un pareil… C'est pour les garçons !
La petite fille rentre une nouvelle fois en pleurant chez elle. Et le lendemain, le petit garçon repasse devant elle avec fierté en lui demandant :
- Alors il y a des chose que ta maman ne peut pas t'acheter… T'en auras jamais !
Et la gamine, soulevant sa jupe et exhibant ses parties intimes, répond :
- Tu devrais mieux la fermer. Ma mère m'a dit que tant que j'avais ça, je pourrais en avoir autant que je voulais… |
Un avion long courrier traverse une terrible tempête. Voilà plusieurs fois qu'il tombe dans des trous d'air. Et alors qu'il perd dangereusement de l'altitude, les passagers sont totalement paniqués et crient de frayeur. Tout le monde pense que cette fois, c'est la fin…
Au coeur de cette scène de cauchemar, une jeune femme s'écrie soudain :
- Je ne peux plus supporter ça… Nous allons donc tous mourir comme du bétail enfermé dans une cage. Y a t'il un homme dans cet avion qui me fera me sentir une vraie femme une dernière fois ?
Dans le fond de l'appareil, un bras se lève. Un jeune homme viril et bien bronzé s'avance dans le couloir central de l'avion et commence à ôter sa chemise qui laisse apparaître son torse musclé. Il tend alors la chemise à la jeune femme et lui dit :
- Tiens, repasse ça. |
Alors que le roi Arthur s'apprête à partir en croisade, il s'inquiète du sort de la reine Guenevière qui devra rester seule pendant plusieurs années entourée de tous ces chevaliers solitaires. Il se rend donc chez Merlin le magicien pour obtenir de bons conseils. Mais Merlin ne sait pas trop comment protéger l'honneur de la reine et il demande à son roi une semaine de réflexion. Arthur revient donc huit jours plus tard et Merlin l'invite dans son laboratoire pour lui présenter sa dernière invention, une ceinture de chasteté d'un genre nouveau. En observant la ceinture en question, le roi remarque tout de suite une très large ouverture au plus mauvais endroit. Il s'en inquiète et Merlin répond :
- Justement, c'est là que cette ceinture est révolutionnaire. Regardez Sire ce qui se passe lorsque j'introduis cette carotte dans l'orifice de la ceinture…
Dès que Merlin fait rentrer le légume dans le trou, une petite lame, pareille à une guillotine miniature, vient s'abattre et coupe la carotte en deux.
- Merlin, tu es génial, remarque le roi qui, dès le lendemain, installe la ceinture sur sa bien aimée, s'accroche la clef au cou et part en croisade le coeur léger et l'esprit rassuré.
Lorsqu'il revient cinq ans plus tard à Camelot, il convoque immédiatement tous les chevaliers du royaume et leur fait baisser leur pantalon pour une inspection bien légitime. Il est effrayé de constater que tous sont amputés ou ont perdu une bonne part de leur virilité. Tous sauf le chevalier Lancelot.
- Lancelot, s'exclame Arthur, tu es le seul à ne point m'avoir trahi. Dis moi ce que tu veux dans ce royaume et je te le donnerais.
Mais Lancelot reste sans voix. |
Les tests de sélection pour devenir pensionnaire de ce monastère étaient particulièrement rigoureux. L'épreuve finale, cette année-là, concernait trois jeunes prêtres qui devaient prouver au Père supérieur qu'ils sauraient respecter leur voeu de chasteté sans jamais faillir. Le Père et ses assistants avaient donc imaginé une épreuve extrèmement ingénieuse pour s'assurer des capacités des jeunes prêtres à résister à la tentation. Il s'agissait de demander aux candidats d'attacher une clochette à leurs parties intimes et de les mener, tels des suppliciés, dans une petite pièce du monastère. On invita le premier prêtre à entrer dans la fameuse pièce. Là il découvrit une superbe femme presque nue qui dansait d'une façon particulièrement suggestive devant lui. Le Père Supérieur, posté à la porte de la petite pièce ne tardit pas à entendre… DING DING. Il s'adressa au jeune prêtre :
- Mon fils, vous avez failli. Passez donc dans la pièce à côté pour vous calmer, il y a des douches froides…
Le second postulant se présenta à son tour. Il entra, résista plus longtemps que son prédécesseur mais on finit par entendre… DING DING. Le Père supérieur dit au second prêtre :
- Mon fils, Passez donc à côté pour prendre une douche froide et calmer vos ardeurs…
Le troisième candidat arriva alors dans la pièce où la danseuse dévétue osa les poses les plus érotiques pour faire craquer son sujet. Rien… Pas un son. Au bout d'un quart d'heure, le Père Supérieur fit cesser l'épreuve ; le prêtre était admis dans le monastère ! Le Père supérieur dit alors :
- Bravo, quelle capacité exceptionnelle de résister à la tentation de la chair. Je vous félicite mon fils. A présent, allez vous aussi prendre une douche pour vous relaxer. Le Père Supérieur vit sa nouvelle recrue ouvrir la porte des douches et entendit… DING DING |
Un enfant de dix ans demande à son père :
- papa, c'est quoi la politique ?
Le père réfléchit un moment et répond :
- Prenons notre maison par exemple. Je suis celui qui suis celui qui ramène l'argent donc appelle moi "le capitalisme". Ta mère, elle, s'occupe des affaires courantes et de la vie quotidienne, appelons-la "le gouvernement". Nous prenons soin de toi et te montrons le chemin à suivre, tu es donc "le peuple". Ton petit frère de deux ans, ce serait plutôt la nouvelle génération, "l'avenir" et la bonne, appelons la "la classe ouvrière". Voilà, ce modèle te paraît-il clair ?
Le fils répond :
- En fait, je ne suis pas sûr Je vais y réfléchir !
La nuit même, le jeune garçon fut réveillé par les cris de son petit frère. Il se leva et, entrant dans la chambre de son cadet, découvrit qu'il n'y était plus. Arrivant dans la chambre de ses parents, il vit que sa mère dormait profondément et que son petit frère portait une couche-culotte dans un piteux état. Alors qu'il regagnait sa chambre, il entendit alors du bruit venant de la chambre de la bonne et regardant par le trou de la serrure, il découvrit son père et l'employée de maison ensemble au lit. Il tenta de frapper à la porte, mais dans le vacarme ambiant, il ne fut pas entendu et retourna donc se coucher… Le lendemain matin, au petit déjeuner, il s'adressa à son père :
- Papa, cette nuit j'ai enfin compris ce qu'était la politique.
- Ah bon ?, répondit le père d'une oreille distraite. Et bien explique nous.
- Hé bien, Pendant que le capitalisme est en train de baiser la classe ouvrière, le gouvernement dort paisiblement. Dans le bruit général, personne ne se soucie du peuple et l'avenir est plein de merde… |
Une religieuse entre dans un taxi et demande :
- Je voudrais aller à la Place de la République…
Avec son accent parisien, le chauffeur répond :
- Ca fait un bout de chemin, dites donc… Ca ne vous dérange pas qu'on cause un petit peu ?
La soeur, aimable :
- Non mon fils… De quoi voulez-vous qu'on parle ?
Le chauffeur :
- Ben, vous savez, c'est à propos du célibat que vous êtes obligée de respecter. Ca ne vous a donc jamais traversé l'esprit de…
Sans s'offusquer, la religieuse répond :
- Vous savez, nous ne sommes que de faibles humains faits de chair. J'y ai pensé deux ou trois fois dans mon existence…
Le chauffeur poursuit :
- Et aller plus loin que le fait d'y penser. Ca ne vous a jamais traversé l'esprit ?
La soeur réfléchit quelques secondes :
- Hé bien, dans une circonstance exceptionnelle, si des conditions très strictes étaient réunies, peut-être que…
Le chauffeur intrigué demande alors :
- Et quelles sont ces conditions strictes dont vous parlez ?
La soeur :
- Il faudrait que l'homme soit catholique, célibataire et bien sûr sans enfant…
Le chauffeur se retourne alors brutalement :
On peut dire que c'est votre jour de chance. Je réponds aux trois critères.
Et il ajoute :
- Cela vous dirait-il de venir à l'avant et de vous asseoir sur mes genoux ?
La religieuse regarde alors autour d'elle et l'endroit paraissant discret, passe à l'avant du taxi. Après quelques longues minutes sur les genoux du chauffeur, elle revient s'asseoir à l'arrière. Le conducteur éclate alors de rire et déclare :
- Ah ma soeur, je vous ai bien eue ! Je suis protestant, marié et j'ai trois enfants !
Ce à quoi la soeur réplique, avec une voix étrangement grave :
- Ben, moi je m'appelle Bernard et je vais à un bal costumé. |
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