La maîtresse d'école demande à Gaston - Il y a trois oiseaux sur une branche et je prends mon fusil et j'en tire un, combien en reste-t-il ?
Gaston dit :
- il n'y en a plus, les autres sont partis, ils ont eu peur La maîtresse dit :
- Non, non Gaston tu vois 3 oiseaux moins un fait qu'il reste deux oiseaux sur la branche.
Mais j'aime bien ta façon de penser. Quelques jours plus tard, cette fois-ci c'est Gaston qui demande à sa maîtresse d'école - Il y a trois femmes qui marchent sur le trottoir, chacune ayant un cornet de crème glacée à la main, une lèche son cornet, l'autre suce son cornet et la dernière croque son cornet.
Laquelle est mariée ?
La maîtresse dit :
- ce doit être celle qui suce Gaston dit :
- Non, non c'est celle qui a une bague au doigt.
Mais j'aime bien votre façon de penser |
Un petit garçon, très paresseux, fait sa prière :
- Mon Dieu, dit-il, faites que si la foudre ne tombe pas sur l'école cette nuit, au moins, demain matin, quand le directeur viendra pour ouvrir la porte, sa clé se bloque dans la serrure. |
Un enfant qui rentre de l'école dit à son père :
- Quand la nouvelle maîtresse s'est installée à son bureau, je me suis penché pour admirer ses jambes et regarder si je voyais sa culotte.
Alors, elle exige que, pour demain, tu conjugues à tous les temps de l'indicatif et du subjonctif la phrase « J'apprends à mon fils à manifester du respect envers ses professeurs ». |
Un Belge se désolait d'être illettré et de ne pouvoir signer les divers documents qu'exige la vie courante.
Il décida donc de suivre des cours du soir, à raison de trois heures par semaine, pendant un an.
Maintenant, il est libéré de ses complexes.
Quand il doit apposer sa signature quelque part, ça y est, il sait faire une croix. |
- Mon fils, raconte une dame à une amie, a toujours eu le goOt de se mettre en danger.
D'abord, il a passé trois ans de sa vie à étudier les scorpions, dans le Sahara.
Puis, comme il voulait se dépasser, il est devenu cascadeur.
Et, maintenant, il est prof dans un collège de Seine-Saint-Denis. |
Le Journal de 20 heures annonce une manifestation d'instituteurs qui veulent obtenir une augmentation de salaire. En entendant cela, une petite fille s'indigne :
- Ça, alors, ils exagèrent !
Pourquoi ils paient la maîtresse alors que c'est nous qui sommes toujours en train de travailler !! |
L'histoire se passe dans une salle de classe, disons à l'école primaire.
L'inspecteur est venu... inspecter les cours que dispense mademoiselle l'institutrice.
Celle-ci pose la question à l'ensemble des têtes blondes :
- Qui veut nous chanter une chanson pour monsieur l'inspecteur ?
Dix mains se lèvent.
L'institutrice désigne tour a tour les gentils volontaires, mais n'interroge pas un petit, car elle sait qu'il a une réputation de cancre et de voyou.
L'inspecteur lui fait la remarque :
- Mademoiselle, vous n'avez pas interrogé cet enfant là, à côté de moi.
On dirait que lui aussi veut chanter. - Ben, c'est que, euh... Et puis merde, se dit notre charmante instit', il faut que je l'interroge, tant pis. - Vas-y Mohammed (car il s'appelle comme ça).
Que vas-tu nous chanter ?
- Les tétons, m'dame. - ???
- Ah !
Bravo mademoiselle, fait l'inspecteur, je vois que vous leur apprenez de belles choses. - Je ne comprends pas Monsieur, je vous l'assure !
Et l'institutrice, complètement désolée, dit à Mohammed :
- Bon, vas-y mon petit, chante-nous ta chanson... Et Mohammed :
- Les tétons, petit navireeeuuuuh, les tétons, petit navireeeuuuuh... |
En vacances au bord de la mer, un professeur visite un blockhaus bâti par les Allemands pour renforcer le Mur de l'Atlantique.
- S'ils me construisaient un truc comme ça sur mon estrade, dit-il à sa femme, je te jure que je serais plus rassuré pour faire la classe à tous ces voyous, munis de cutters et de couteaux à cran d'arrêt. |
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