Nouvellement engagée, une secrétaire demande à une collègue :
- Comment est le patron lorsqu'il est de bonne humeur ?
- Je ne sais pas.
Je ne suis dans la maison que depuis trois ans. |
- Comment, demande-t-on à un industriel, êtes-vous arrivé au degré de réussite que vous avez atteint, aujourd'hui ?
- Simplement :
en me répétant tous les jours que si le succès n'est jamais définitif, d'autre part, l'échec n'a rien de fatal. |
- Comment, demande-t-on à un chef de service, pouvez-vous avoir d'aussi bonnes relations avec vos subordonnés ?
- Cela vient, dit-il, de mon premier métier, pendant plus d'un an, j'ai préparé des sandwiches. - Et quel est le rapport ?
- Quand je dois absolument servir à un employé une petite tranche de critique, je prends bien soin de l'entourer, au début et à la fin de notre conversation, de deux beaux morceaux de félicitations. |
Un expert en efficience dit au directeur d'une petite entreprise qui l'a appelé en consultation :
- Bien sûr, pour accroître votre productivité, je pourrais vous conseill de vous équiper de toute une batterie d'ordinateurs.
Mais, vous obtiendrez des résultats déjà fort satisfaisants si, dans chaque bureau, vous doublez la taille des corbeilles où l'on jette toute la paperasserie inutile. |
- Je vais déjeuner, annonce un patron à sa collaboratrice. - Compris, répond-elle, avec un clin d'oeil.
Je mets la compagnie en pilotage automatique. |
Un chef d'entreprise rejette les offres d'un représentant, en lui expliquant :
- Non, vraiment, je n'ai aucune confiance dans les ordinateurs et j'ai une bonne raison pour cela.
L'agence matrimoniale où je m'étais inscrit en a utilisé un, pour me faire rencontrer celle qui est devenue ma femme. |
Assis à son bureau, sur le coup de dix heures du soir, un cadre supérieur soupire :
- Quand je pense que, lorsque j'étais au lycée, en préparant mon bac, je rouspétais parce que je devais souvent travailler jusqu'à l'heure du dîner. Et, maintenant, où je suis débarrassé de tout ce travail scolaire et que je pourrais profiter de ma liberté, mon patron me donne à étudier un rapport qui va m'amener jusqu'à 4 heures du matin. |
Le patron se fâche, tandis qu'un de ses collaborateurs tente de se justifier . - Apprenez, mon jeune ami, à acquérir le sens des mots.
Moi, je commets, parfois, des erreurs de jugement.
Mais vous, dans la même situation, vous faites des conneries. |
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