La secrétaire d'un important homme d'affaires voit arriver une ravissante blonde qui, sans dire un mot, commence à ôter son manteau, sa robe, son soutien-gorge. - Mon patron, dit la secrétaire, m'a cent fois recommandé de ne pas laisser pénétrer dans son bureau quelqu'un qui n'a pas rendez-vous mais, exceptionnellement, je crois que je vais prendre le risque de ne pas respecter la consigne. |
- A votre avis, demande un patron à sa secrétaire, existe-t-il un moyen infaillible pour que tout notre personnel soit mis rapidement au courant d'une mesure que je viens de prendre ?
- Certainement, monsieur le directeur.
Tapez le texte de votre décision sur une feuille où vous mettrez le cachet :
« Confidentiel ».
Et moi, je me charge de faire discrètement tomber cette feuille en passant devant le bureau de Mlle Manouchet, la plus intarissable bavarde de tous vos employés. |
- Maintenant que vous avez vu tous mes diplômes, y compris celui d'un concours de strip-tease à Saint-Tropez, dit une candidate secrétaire à un homme d'affaires, je dois vous avouer un seul défaut :
je suis un peu dure d'oreille.
C'est pourquoi, pour me dicter votre courrier, je vous suggère de me prendre sur vos genoux et de me parler à l'oreille. Vu cette pancarte affichée dans tous les couloirs d'une grande entreprise :
Utilisez votre tête.
Ce sont les petites choses qui comptent . |
- A votre entrée dans notre maison, dit un chef d'entreprise à l'un de ses employés, je vous avais prédit que vous feriez du chemin.
Ce jour est arrivé :
vous êtes muté dans notre filiale de Rangoon, en Birmanie. |
- Mon cher Blanchardot, dit le directeur d'une petite entreprise à l'un de ses employés depuis que vous êtes entré chez nous, vous avez su vous rendre indispensable.
Autant que le serait, pour la Marine nationale, un sous-marin poreux. |
- Que feriez-vous, demande-t-on à un petit employé, si vous vous trouviez dans la rue au moment où se déclencherait une guerre nucléaire ?
- Je chercherais à repérer une cabine téléphonique. - Vous croyez que ce serait suffisant comme abri ?
- Peut-être pas mais, avant de mourir, j'aurais au moins le bonheur d'appeler mon patron pour lui dire :
Merde ! |
- Mon patron, gémit une jeune secrétaire, m'avait promis que si j'acceptais de faire l'amour avec lui, il m'offrirait un vison. - Et alors ?
- On a fait l'amour. - Et tu l'as eu, ton vison ?
- Oui.
Mais, maintenant, chaque matin, je suis obligée de nettoyer sa cage. |
- Que vous est-il arrivé ?
demande-t-on à un homme qui se présente avec une main bandée. - J'avais entendu annoncer, à la radio, qu'allait avoir lieu, à proximité de chez moi, un grand défilé de grévistes.
Je n'allais pas être assez bête pour risquer de recevoir, sur la tête, un coup de pancarte d'un de ces forcenés ou de me faire matraquer par les CRS.
J'ai donc décidé, exceptionnellement, de ne pas aller au bureau, ce jour-là, et de passer la journée à bouquiner, dans le petit jardin, derrière ma maison.
Et c'est en dépliant ma chaise-longue que je me suis écrasé deux doigts. |
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