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Lire une chanson paillarde |
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Anales sur mon popotin.
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J’avoue d’avoir tellement reçu sur les fesses
Des coups de pieds aux culs durant ma jeunesse
Que misogynie m’aidant en garce de maitresse
Me fît draguer des étalons pour être pris en laisse.
Des étalons arabes bien sûrs qui possèdent du chien
Pas de ces juments folles qui n’ont que le crachin
Ainsi mon envers fît face plus d’une fois fièrement
A des braquemarts tendus de bipèdes écumant
Et en menant de front sans se soucier des arrières
Quitte, comme à Roncevaux de mordre la poussière
Ah ! Blâmez-moi chrétiens d’accepter comme vous
Dans ces déculottées de jouir à tendre l’autre joue.
En rappelant quand même à cette horde mêlée
Que pour m’enfiler le mieux serait la file indienne
Dans une queue leu leu appelé à ne pas s’emballer
Ou à louer du nom de dieu sur mes miches païennes.
Car je suis un de ces mécréants dénués de sagesse
Qui pour se mettre à genoux ne va pas à confesse.
Mais répond dare-dare aux injonctions données
Par ces hardis bourrins aux érections damnées.
Ainsi par ces pur-sang en rut sans trop de maladresse
Par leurs saillies lactées je su du septième ciel l’adresse
Tandis que Cupidon perdu me décochait ses flèches
Dans le bas de mon dos pour finir en en cale sèche.
Même sous ces coups de boutoir qui ne me valent rien
Pour cause de mes lombaires qui en ont pleins les reins
Je n’élude pas du tout cette idée philosophique passée
Qu’a l’homme fondamentalement de vouloir avancer.
Mais alors, juste un petit peu pour enculer son voisin
Opposé à mon recule pour prendre ce don j’ai besoin
Mais les rides venues semblables à ces hautes falaises
D’Etretat qui s’effrite, mes fesses elles s’affaissent
Et qu’à mon désarroi, ne passe plus pour les reines
De ces parties prenantes mes miches pour des rênes.
Maintenant hélas ma colonne se relâche quelque peu
Et m’oblige d’une ceinture pour la soutenir au mieux.
Car de plier l’échine me fais beugler telle une vache
Comme hier sur mon cul par ces coups de cravaches.
Mais votre progrès me sauve grâce aux dvd, je bande
De voir si bien monter, ces jeunes poulains en bande.
Se découvrant mutuellement la face cachée de la lune
Sans qu’obligatoirement les journaux en fassent la une.
Alors même si je suis frappé d’Alzheimer un de ces soir
Vous comme moi c’est sur, nous trouverons ce trou noir.
Et mon cul détendu, pourra enfin partir en paix (Bis)
Sans cette obligation d’ouvrir et fermer son clapet.
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